Le 16 janvier 2013, la qualification du Stade rennais pour la finale de la Coupe de la Ligue provoque également un envahissement du terrain par ses supporters, avec l'approbation du club, dans une ambiance festive[90]. Après avoir compté 600 membres, dont 400 abonnés en 2001[17],[32], l'association revendique désormais près de 700 adhérents[34]. Celle-ci devient une association à part entière en 2006, et compte une dizaine de membres. Nécessaires. Outre la possibilité d'assister à toutes les rencontres de championnat, il permet d'obtenir divers avantages, comme des priorités d'achat ou des invitations pour certaines rencontres de coupe[59],[60],[61].
Depuis les années 1960, des mascottes sont utilisées comme emblèmes par les supporters rennais et par leur club. En parallèle, les supporters du club s'organisent et se structurent.
Il est impliqué dans le réseau FARE[note 9], qui lutte contre les formes de discrimination et de racisme dans le football européen[28],[29].
On gueule. Enfin, à partir de novembre 2011, la chanson Just can't get enough, du groupe anglais Depeche Mode, est reprise pour ponctuer chacun des buts rennais. Celle-ci fait ses débuts à Rennes à la fin des années 1980. Comptant une centaine d'adhérents en 1995[26], 600 en 2001[17] et 450 en 2012[bk 9], Allez Rennes revendique un record de 635 adhérents[26]. Dans le monde sportif, plusieurs champions sont également supporters du Stade rennais. Ses membres se placent habituellement dans la tribune Lorient et dans le virage de la tribune Vilaine[8]. Function: view, File: /home/ah0ejbmyowku/public_html/index.php Des supporters soutiennent et encouragent le Stade rennais football club. », et en lançant une souscription auprès des entreprises bretonnes[cl 14]. Le droit d'entrée dans ces sections finance de nouveau la sauvegarde du club[bk 1],[note 2]. Créé en 1901, ce club de football français, basé à Rennes, suscite, dès ses premières années d'ex Ce site a été conçu avec Jimdo. Suivant également les évolutions du football, il voit émerger la culture ultra, apparue à Rennes à la fin des années 1980, qui transforme la vie des associations de supporters, ainsi que les formes de soutien, avec ses animations, ses codes, et sa mentalité spécifique. Suivant les évolutions économiques et sociales de la région rennaise et de la Bretagne, le public qui se masse dans les tribunes du stade de la route de Lorient (renommé Roazhon Park en 2015) voit sa composition se modifier au fil des décennies, avec la disparition progressive du tissu industriel rennais au profit du secteur tertiaire, transformant le soutien populaire en un public plus familial, souvent critiqué pour sa froideur et son exigence envers sa propre équipe. Le 10 décembre 2011, une bagarre oppose des supporters des deux camps dans les rues de Rennes, faisant deux blessés légers[109]. Line: 479 D'abord implantés dans le virage de la tribune Vilaine[19], les Socios s'installent ensuite dans la tribune Lorient et le virage qui la relie à la tribune Mordelles[33]. [...] Nous vivons le match ensemble, comme de vrais supporters. Installées en tribune Mordelles, au côté du Roazhon celtic kop, elles comptent jusqu'à une trentaine de membres[19]. Line: 24 Durant plusieurs années, l'association joue un rôle direct dans la vie du club, en gérant la billetterie du stade. Le groupe souffre toutefois de sa cohabitation avec la section d'animation des Allez Rennes, ainsi que de la proximité en tribune des supporters adverses[bk 10]. Lors de la finale de la Coupe de France 2009 apparait cette fois une nouvelle mascotte aux traits rappelant une hermine au pelage blanc, créée à l'origine par les pompiers d'Ille-et-Vilaine et cédée par ceux-ci au Stade rennais[164],[bk 33].
Outre Charles Biétry, plusieurs journalistes ou hommes de télévision supportent ouvertement le Stade rennais. La notoriété du Stade rennais est avant tout établie dans le grand Ouest de l'hexagone.