La fin de l’aventure en amateur, l’entrée dans la cour des grands. Avec ses complices de la clique Superwak, il balade son micro sur les scènes de Suisse et d’ailleurs. «Chacun crée son histoire, le rap peut exister pour lui-même.» La preuve, son collectif, Superwack (D-Meh, Slimka…), est un oxymore à lui seul, l’union de deux forces. Dans le quartier des Avanchets, il est le petit nouveau qui débarque, «l’autre», qui s’en prend plein la figure. «Les médecins avaient certifié à ma mère qu’une grossesse était impossible. Un clic et sa gueule d’ange défile au ralenti sur sa story. L’aventure Colors Records démarre en 2010.
Figure montante du rap genevois, Makala a décroché un contrat chez BMG France en décembre. «J’ai la violence dans la manière de faire.
En 2018, il est presque muet puisqu'il n'apparaît que sur trois titres durant l'année dont le single Depeche Mode, en collaboration avec ses collègues genevois Di-Meh et Slimka. Il ne s’arrête plus. «Il faut du courage pour faire des choix complètement fous, juste pour le kif.». Samedi 28 janvier, il était à l’Arena de Genève pour le festival The Beat, la grand-messe du hip-hop.
Avec son label indépendant, cofondé un an plus tôt avec Théo Lacroix, le chasseur de talents veut donner un élan à la scène genevoise en débusquant des jeunes motivés. Il vit toujours chez sa mère, à Châtelaine, et surtout, il rappe.
Son premier album studio nommé Radio Suicide, entièrement produit par Pink Flamingo sort le 21 juin 2019.
Il est aussi membre de la clique Trapzik et forme le duo “Les frères de la piscine” avec le producteur Pink Flamingo, lui-même également membre de la SuperWak Clique avec qui il collabore sur la grande majorité de ses titres. Alors on est encore plus louche.» Comme un pied de nez aux tabous qu’il s’amuse à exploser. De sa jeune enfance, il garde un souvenir flou, comme si tout avait commencé en 2002, quand sa famille déménage à Genève. Elle a gardé la foi. Les liens avec son pays d’origine, le Congo, sont ténus, son lingala, timide.
Sa référence? En 2014, avec «Varaignée», Makala étend son aura un peu plus loin encore. Le sourire franc, les yeux rieurs, une petite afro qui attend de se faire tresser, Makala est l’étoile montante du rap genevois. Deux albums, une diffusion à grande échelle et le merchandising qui va avec. «Jvois en grand jvise le globe. La dernière modification de cette page a été faite le 25 septembre 2020 à 19:32. En juin 2017, Makala sort l'EP Gun Love Fiction, un 6 titres sans featuring produit par l'artiste Pink Flamingo de qui contribue encore plus à sa notoriété bien qu'il ne fait l'objet d'aucun clip. Rico Tha Kid. Elles ne représentent nullement la position du Temps. Je m’en irai courir dans le paradis blanc. https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Makala_(rappeur)&oldid=175033213, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence. Kingslee James McLean Daley (born 1 December 1983), better known by the stage name Akala, is a British rapper, journalist, author, activist and poet from Kentish Town, London.In 2006, he was voted the Best Hip Hop Act at the MOBO Awards and has been included on the annual Powerlist of the 100 most influential Black British people in the UK. Entre les deux hommes, le feeling est immédiat. En 2016, Makala signe un contrat chez le géant de la musique BMG qui prévoit une plus grande médiatisation pour l'artiste et la production de deux albums[5]. Entre les lignes, on découvre un nouveau langage: y a R, «Wayyye» ou «Kaboom». Membre du label Colors Records, le jeune MC autodidacte de 23 ans a signé chez la maison d’édition BMG France, en décembre. Voir la liste. Il est l'un des principaux membres et le fondateur du collectif suisse SuperWak Clique. «Je regarde tout ça de loin, un peu comme une sitcom. Ils ont tout fait pour la décourager. «Pas du tout, je suis même plutôt déconnecté en ce moment.» L’univers urbain, l’ambition, le cash, l’envie de liberté habitent ses tracks. Makala, de son vrai nom Jordy Makala, né le 7 mars 1993 à Bienne, est un rappeur suisse d'origine congolaise[1]. Il est l'un des principaux représentants du rap en Suisse romande, et plus généralement dans la Suisse entière, en compagnie de ses acolytes au sein du collectif genevois Superwak Clique : Di-Meh et Slimka[2].
Elle y est plus en sécurité». Comme Di-Meh et Slimka, Makala vient de Suisse. Radio Suicide Show | Imbéciles Cup EP. En 2017, ses deux acolytes sortent leur premier projet d'envergure (à l'échelle de la Suisse) respectif mais Makala, lui, ne publie qu'un petit EP de six titres intitulé Gun Love Fiction qui arrive tout de même à la 37ème place des charts en Suisse[6]. La chanson française, ce n’est vraiment pas son registre, mais il admire son culot. Son nom : « Radio Suicide ».
Accro aux réseaux sociaux? De quoi parlent ses dernières lignes? Sur scène, à Bruxelles, Lausanne ou Paris, son énergie électrise. 2. Il choisit alors le blaze de H2O.
Figure montante du rap genevois, Makala a décroché un contrat chez BMG France en décembre. C’est son boulot. «Ce n’était pas pour moi.» Un après-midi, son copain Manu vient le chercher pour aller rapper, un peu au hasard. Une carrière en costard cravate lui donne des sueurs froides. Parler aux poissons d’argent.