nombre d'arméniens avant le genocide


Parmi elles, les données d'Arnold Joseph Toynbee. /Contents 4 0 R>> Un rapport indique que dès février 1916, 1,5 million d'Arméniens avaient été décimés[14]. Alors que les statistiques ottomanes couvrent les années 1917-18, de même que certains schémas allemands, la plupart des autres estimations les excluent. Gilles Veinstein, Paul Dumont, François Georgeon et Thierry Zarcone n'ont pas étudié la question. 52. Parmi les nations impliquées dans la guerre, l'Allemagne est considérée par beaucoup comme étant celle la mieux placée, après l'Empire ottoman lui-même, pour accéder aux sites des massacres et des déportations. <> Elles présentent un chiffre de 60 000 directement tués, pour un total de 150 000 victimes en comptant celles dont les conditions menaient inévitablement à la mort[30]. L'existence et la disponibilité des sources suivant 1917 est un autre problème. Plusieurs estimations furent présentées par le patriarcat arménien, l'une d'entre elles paraissant la plus complète fut publiée dans le livre de Marcel Léart (Krikor Zohrab)16. La plus grande partie des victimes a pu être dénombrée en Cilicie[32], de même que dans les zones orientales, et sans oublier Smyrne[33] durant ce qui fut reporté comme des massacres et qui a suivi l'incendie des quartiers grec et arménien de la ville. Il faut aussi prendre en considération l'une des sources allemandes les plus mesurées, par le Major Endres qui a servi dans l'armée ottomane, et qui parle de 1,2 million d'Arméniens décédés pendant la guerre[17]. No. 53351, 1.14. et Arxiv vnesnej politiki SSSR, f. 132, op. x��X�n�F�g�A�����+R�$q�8mѦQч��͖-Y�HYp��ѹ-���Tۀ0E���3g�\v�� ��}sq�ܓ, �0�a�?�`���;�R؝���7D� � �9���,'����ه.�j�ۜ��'�0���Ai�K�5�,n�� �4 Les pertes arméniennes entre 1914 et 1917-18, Victimes arméniennes en dehors des frontières de l'Empire ottoman durant l'invasion, Génocide arménien : nombre total de victimes, de 1914 à 1923, « 800 000 Arméniens et 200 000 Grecs sont morts du fait des déportations ou dans les camps de travail », « Selon nos sources officielles, ces chiffres sont exacts ». Les travaux de Justin McCarthy sont souvent cités par les défenseurs de la thèse turque ou par les négationnistes du caractère génocidaire des massacres. Le Vice-Maréchal autrichien Pomiankowski a estimé les pertes arméniennes à environ 1 million[21]. McCarthy est aussi critiqué pour avoir surestimé le nombre de survivants. 12.

Bien que les chiffres officiels soient de 800 000 morts, de nombreuses autres estimations non officielles ont été présentées pendant la guerre par certains responsables ottomans — Talaat, par exemple, a avancé le nombre de 300 000 — mais il n'y a aucune explication sur la façon dont il a été obtenu. En couvrant la période allant de 1914 à 1923, le chiffre le plus souvent retenu par les historiens occidentaux est celui d'1,2 million de victimes[34]. Quoi qu'il en soit, on suppose que les pertes arméniennes furent sous-évaluées dans le but d'augmenter artificiellement la population arménienne afin de soutenir la création d'un État arménien. Un autre rapport daté du 27 mai 1916, par Matthias Erzberger du Bureau des affaires étrangères, donna les mêmes estimations[15], tout comme un rapport du 4 octobre 1916 par l'ambassadeur allemand intérimaire en Turquie, Radowitz[16]. Les mêmes chiffres sont mentionnés durant le procès de Yozgat[18], ils sont aussi présentés au Tribunal permanent des peuples[19] et sont souvent cités dans de nombreux travaux. La dernière modification de cette page a été faite le 3 juin 2020 à 15:02. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Q�LV������W�����V�߁o������t���a��-�� ߚWfmVflffn���Ƽ0|��/o~�������G��� J)�"Y4���枟K�Co.X��Lp��FW���=T�Ѐ+�{�i�$ � ��A8�Wo����1��+��HDb?��oQ`�(������A��jH�x��=gH#���=|>E�����l�5A�������q;|*�G�.