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Cristallisant sur son nom le vote conservateur en Arizona, il aidait indirectement l'État à basculer vers les démocrates.
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© 2020 - Bayard Presse - Tous droits réservés - @la-croix.com est un site de la Croix Network, Fin de l’enquête sur l’assassinat du père Hamel, Dépenser vite et fort : un budget 2021 de relance et de déficits, Procès des attentats de janvier 2015 : « L’énorme regret » d’un chef du renseignement, Canicule : le rafraîchissement arrive enfin par le nord-ouest, Cynthia Fleury : « Ne pas soutenir le soin, c’est ruiner la solidarité », Courances, un « jardin d’eau » sans cesse réinventé, Transition au Mali, les militaires gardent la main, États-Unis, 20 morts dans une fusillade à caractère vraisemblablement raciste au Texas, L'enquête russe revient empoisonner Donald Trump au Congrès, Pierre Rosenberg fait don de sa collection au futur musée du Grand Siècle, Accusations d’antisémitisme : Stéphane Bern défend l’écrivain Pierre Loti, En Guinée, l’archevêque de Conakry dénonce l’expropriation abusive des domaines de l’Église, Olivier Giroud : « Jésus est avec moi sur le terrain », Instrument de travail pour le Synode 2019 sur l’Amazonie. Aux Etats-Unis, les images ont valeur de symbole. Un sondage commandé par le Comité national républicain révèle que non seulement Bob Dole ferait un très mauvais score dans les 19 plus grands Etats américains, mais il montre aussi que les électeurs hostiles à Clinton ne voteraient pas pour autant pour son principal adversaire. Bill Clinton composa son cabinet d'une équipe restreinte, et accorda encore plus de responsabilités à son vice-président Al Gore. Car, en 1996, la démocratie américaine ressemble à s’y méprendre à un ... Mme Hillary Clinton est donnée favorite des primaires pour l’élection présidentielle américaine, mais son adversaire socialiste Bernie Sanders a réalisé une percée remarquée au cours des derniers mois. Joanne Marie Jorgensen est la seule femme éligible à la Maison-Blanche pour cette élection présidentielle. (1) Cf. Le 7 octobre 1993, Bill Clinton annonça le début d'une nouvelle mission en Somalie du fait de la situation chaotique dans le pays[6]. Bill Clinton a justifié sa réputation de « comeback kid », se coulant avec brio dans son nouveau rôle de père de la nation, lors de tragédies nationales comme celle d'Oklahoma City. Cette élection s'est déroulée dans un contexte relativement calme, avec peu de menaces extérieures hormis l'Irak. Aux Etats-Unis, les stratèges politiques ont attendu pendant des mois ce moment où les Américains s’intéresseraient enfin à l’élection présidentielle. Habile stratégie démographique ?
Jamais autant d’argent, jamais autant d’indifférence. Ces bons résultats ne masquaient pas la faiblesse et le déclin des démocrates dans leurs anciens bastions des États du Sud qu'ils avaient dominés de 1880 à 1964 et où, cette année, ils ne remportaient que 4 des 11 États. « Je crois que je viens de gagner ma troisième médaille », s'est exclamé Bob Dole tout sourire. (4) Pour l’analyse détaillée de ces questions et de la présidence Clinton en général, voir l’ensemble du dossier « Le nouveau modèle américain », Manière de voir, n° 31 (en vente dans les kiosques). (10) Cf. L'élection confirma l'ancrage récent des démocrates dans les anciens bastions du républicanisme modéré qu'étaient la Californie, le Vermont, le Maine, l'Illinois, le New Jersey, la Pennsylvanie ou encore le Connecticut ainsi qu'au Michigan et dans le Delaware. Il a nettement baissé les impôts pour les classes moyennes, et augmenté les impôts des contribuables les plus aisés financièrement. Un homme de gauche, de droite ou du centre ?