L'attitude des centristes d'opposition durant l'entre deux tours a fait perdre aux socialistes une vingtaine du sièges.
Les communistes gagnent 39 élus constitués pour partie d'anciens des députés de 1967 battus l'année suivante comme Louis Maisonnat à Vizille, Marcel Rigout à Saint Junien, Paul Laurent à Paris, Pierre Juquin à Savigny sur Orge ou César Depietri à Moyeuvre-Grande. This worried the conservative part of the Presidential Majority and Pompidou himself. Seuls Michel Rocard (24,3 % à la Celle Saint Cloud), Yves Le Foll (26,4 % à Saint Brieuc) et Roger Prat (11,3 % à Morlaix) arrivent, du fait de leur bonne implantation, à atteindre un score honorable. Ainsi Marc Jacquet (UDR) à Melun, Alexandre Sanguinetti (UDR) à Toulouse et Alain Griotteray (RI) à Alfortville sont battus. Majoritaire en voix, la gauche reste néanmoins minoritaire en sièges. développement hydro-électrique à la Baie-James, Section historique du site de l'Assemblée nationale du Québec, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Élections_générales_québécoises_de_1973&oldid=172875362, Portail:Politique québécoise/Articles liés, Portail:Politique canadienne/Articles liés, Portail:Époque contemporaine/Articles liés, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence.
Cependant, le gaulliste de gauche Jean-Marcel Jeanneney échoue à conquérir le fief familial de Vesoul. Le retrait de candidats réformateurs a permis de limiter les pertes. En 1972 une crise éclate au Ralliement créditiste du Québec et trois personnes, Armand Bois, Camil Samson et Yvon Dupuis, luttent pour le poste de chef du parti. Bien que les résultats du premier tour n'aient pas été à la hauteur de ses espérances, le Mouvement réformateur de Jean Lecanuet et Jean-Jacques Servan-Schreiber remporte un succès inattendu et double sa représentation parlementaire, passant de 15 à 31 sièges, ce qui lui permet de former un groupe parlementaire autonome. C'est l'avènement de socialistes et de radicaux de gauche dynamiques tels que Pierre Joxe, Jean-Pierre Cot, Georges Fillioud, Louis Mermaz ou Michel Crépeau promis à une belle carrière. Après la tempête de mai 1968, elles sont loccasion dune bipolarisation accrue de la vie politique française. Les ministres René Pleven à Dinan et Maurice Schumann à Tourcoing, paient leur insistance à ne pas avoir repris leur ancien suppléant qui a fait campagne contre eux. Avec 12,5 %, il atteint un niveau similaire à celui du Centre démocrate aux élections législatives de 1967, preuve que le ralliement des radicaux valoisiens n'a eu qu'un effet de faible ampleur. Dans le Nord de la France, l'Alliance républicaine indépendante et libérale (1,59 % au niveau national), issue de l'Alliance républicaine pour les libertés et le progrès de Jean-Louis Tixier-Vignancour et se réclamant de la majorité présidentielle, obtient des résultats significatifs. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. The Programme commun was the main issue of the campaign. Toutefois, force est de constater que ce relatif succès ne touche pas l'ensemble du territoire. Le gouvernement libéral de Robert Bourassa est réélu, défaisant l'Union nationale et le Parti québécois et remportant la plus importante majorité parlementaire dans l'histoire du Qu… Le PSU, conséquence de son faible score du premier tour, ne conquiert que le siège de Saint Brieuc. Dans le département de la Somme, 5 députés étaient à élire dans 5 circonscriptions.
À l'extrême gauche, le Parti socialiste unifié, avec 1,95 %, ne parvient pas à rééditer sa performance de 1968 (4,94 %).