C'est dans vos mains que demain notre terreSera confiée pour sortir de notre nuitEt notre espoir de revoir la lumièreEst dans vos yeux qui s'éveillent à la vieFaites du monde un paradis.Enfants de tous paysTendez vos mains meurtriesSemez l'amour et puis donnez la vieEnfants de tous paysVous avez dans le cœur notre bonheurIl faut penser au passé de nos pèresEt aux promesses qu'ils n'ont jamais tenuesLa vérité, c'est d'aimer sans frontièresEt de donner chaque jour un peu plusCar la sagesse et la richesseN'ont qu'une adresse : le paradis.Et puis un jour où l'amour sur notre terreDeviendra roi, vous pourrez vous reposerLorsque la joie couvrira nos prièresVous aurez droit à votre éternitéEt tous les rires de votre empireFeront du monde un Paradis. :) Sur la route, près d'un vieux chêne,Deux paras sont là postés.Ils écoutent sur la route,Un coup part, l'un d'eux tombe frappé.Mon village aux frais ombrages,Où m'attend ma bien-aimée,Où les roses fraîches éclosent,Elle attend le retour espéré.Sur la route près d'un vieux chêne,Un para est là posté.Il veut croire que la gloire,Ne permet pas le moindre regret.Dans l'orage,Malgré notre âge,Nous saurons nous imposer.Les rafales,Et les balles,Ne pourront jamais nous arrêter (bis)Camarades,Vieux camaradesSi la mort frappe en chemin,La victoire,Et la gloire,Resteront toujours entre nos mains (bis). En quittant NouméaAppelé sous les drapeauxTu mettais déjà ta vieAu service du paysDe tous les métiers possiblesTu choisis le plus beauCelui des armes bien sûrOù ton âme s'épanouitSergent-chef SAKO ton esprit souffle en nos cœursFiers de nos gallons, nous voulons te faire honneur.Sergent-chef SAKO, nous t'admirons tousEnsemble nous jurons, de reprendre ton flambeau.Sapeur et parachutisteTu portais nos trois couleursAu Liban puis au TchadAvec abnégationBâtisseur de la paixTu servais avec ardeurEn Ex-YougoslavieProtégeant les populationsMais un jour de novembreÀ SARAJEVO,Ta flamme s'éteignitSur un pont en BOSNIETes frères d'armes et tes filleulsPleurent le hérosQui mourut en seigneurEn servant la patrie.En cette nuit symboliqueNous tenons à te rendre hommageSergent-chef SAKOParrain de notre promotionNous espérons iciQue l'exemple de ton courageGuidera pour toujoursNotre génération. (bis)Vous avez eu l'Alsace et la LorraineVous avez eu des millions d'étrangersVous avez eu Germanie et BohèmeMais mon petit cœur vous ne l'aurez jamaisMais mon petit cœur lui restera français ! Sonnez fort la charge !Pour la France, pour la gloire de son nom. Oh fils de la Croix du DrapeauVous fîtes la guerre à vingt ans !Menez-nous sans peur aux assauts.Nous saurons combattre en gants blancsCe vieux monde agité et dur.Sanglez nos corps dans les armures.Général Guillaume !L'exemple de votre abnégationGuidera encore les pas de nos petits Casos,Qui ce soir, sous les plis du DrapeauAccueillis par la Gloire, affirment leur vocation. 28/07/08 : possibilité de signaler une erreur et de corriger une chanson vous même 14/03/08 : moteur de recherche avec mes sabots !Je ne suis pas si vilaine, Avec mes sabots, (bis)Puisque le fils du roi m'aime,Avec mes sabots dondaine,Oh ! Voici que s’élève la voix De tes enfants Répands ton amour Pour que vive Tahiti Nui. Nous étions cinq, six bons bougresQui rev'nions de Longjumeau.On entra dans une aubergePour y boir' du vin nouveau-eau !C'est à boire, à boire, à boire,C'est à boire qu'il nous faut.Oh ! Si vous en voyez, merci de prendre un peu de temps pour me les signaler: tahitiansongs@gmail.com. (bis)Comment veux tu que je t'embrasse ?Quand on me dit du mal de toi ?On dit que tu pars pour la guerreDans le Piémont, servir le Roy. (bis)Le troisièm' n'a pas de prunelles,Il monte au grenier sans chandelle.Ah ! Garde à vous c'est la guerre le peuple nous regardeMontrons nous courageux et digne du passéQue partout où nos morts montent l'ultime gardeOn dise un jour de nous ils les ont égalés ! C, pour respecter le travail de FBI , qui est super. adieu ! Les zincs décollent en bout de piste,C'est la onzième divisionDivison de parachutistesQui part pour une interventionAdieu parents adieu amis adieu ma mieVous êtes seuls avec vos glaives,Seuls pour apprivoiser la mort,Nous préférons encore nos rêves,A la religion du confort,Car on ne verse pas son sangPour de l'argent.Le voyez-vous les militairesA présent il n'y a plus d'ennemis.Laissons là toutes ces chimèresEt ne restons pas endormis,Car la guerre c'est comme l'amourCa dure toujours.Que faites-vous les bérets rouges ?Peut-on savoir votre crédo ?Autour de nous le monde bouge,Nous partons quand ça bouge trop.Il est sûr qu'en ce momentCa bouge vraiment.Les craquements de la planèteDéstabilisent les nations ;Quand les choses ne sont pas nettesOn monte alors dans nos avionsFaut parfois, c'est évidentMontrer les dents.Les zincs décollent en bout de piste,C'est la onzième divisionDivison de parachutistesQui part pour une interventionCar la guerre c'est comme l'amourCa dure toujours. Déjà animé de tant de force,Vous cherchez l'action à la Légion ;Loin de la douceur de votre foyerVous êtes envoyés pour Narvik.Vos premiers combats, première blessureDévoilent un soldat aux qualités sûres.Au cœur des tourments, guidez nos pas, ravivez en nous,Capitaine Flores, la flamme et l'ardeur pour la Patrie,Gardez-nous de nos faiblesses, à votre image nous voulons servir !Ardant combattant dès que possibleRejoignez les Forces Françaises Libres ;Promu Sergent partant pour l'Afrique,À Bir-Hakeim vous servez Kœnig.De nouveau blessé et fait prisonnierVous vivez un an de captivité.Officier chez les paras coloniauxVous marquez vos soldats en Indo ;Ardeur, bravoure et mépris de la peurVous valent la Légion d'Honneur.Toujours victorieux, en grand chef de guerre,Vos nombreux exploits deviennent légendaires.Au 3 vous formez votre compagnieAvant de partir pour l'Algérie ;Bir-Hakeim, vos Léopards excellentEt sans répit vous traquez les fells.Chef de commandos, maintes fois cité,Redoublant encore d'agressivité.Baroudeur confirmé, vous retrouvezLa douceur d'une femme tant aimée.Avec le sourire vous avez lutté, auprès des vôtres enfin reposez.Para exemplaire, superbe officier,Notre promotion veut vous honorer, Aux heures sombres du pays qu'on a briséAux heures sombres du pays qu'il faut sauverTu t'engages intrépides soldatLa résistance guide tes pasCiel funèbre enveloppe ces joursQue la mort accompagne toujoursPour ta patrie ton sang a couleTa jeunesse fut sacrifiéeColonel du Puy-MontbrunSans peur et sans reprocheÀ jamais notre parrainOutstanding soldierVotre esprit porte la flammeToujours l'honneur pour iciDe vos combats innombrablesGo paratrooper !Officier servant la FranceÀ 18 ans soldatNous formons allianceEn votre nomFière promotionLa guerre frappe ton destin, ta volontéLa guerre frappe ton destin et ta fiertéCommando de sa MajestéTu luttas pour la libertéDéchirement d'une voile d'azurLa peur résonne comme un murmureChère France toutes tes rues vibrentTes couleurs sont libresDu levant au désert rien d'impossibleDu levant au désert tu sembles invincibleFeu et choc résonne sous tes pallesMais jamais épargne des ballesEntendez-vous au loin les combatsQui embrasent l'air sec et purFort chevalier d'acier sous le ventPour nous toujours en avantSoldat de feu tu peux enfin dormirSoldat de feu gardant ton souvenirVotre sacrifice le plus beauUn drapeau sur votre tombeauVos yeux sombres se sont refermesUne histoire pour l'éternitéHumblement nous vous le demandonsGuidez notre promotion. adieu !Adieu maison, adieu maisonChère à mon cœur, chère à mon cœurOu j'ai connu le vrai bonheurÔ toi qui fus toute ma vieAdieu ! Guidés par la flèche d'or, nous sommes nés de la voie sacréeDe la campagne d'Italie, nous sommes sortis victorieuxCirculateurs, avec ardeur, nous escortons nos frères d'armesCirculateurs, avec le cœur, nous guidons nos camaradesMus par la rose des vents, sous la mitraille et les obusAu mépris du danger, Aquafondata est priseGuidés par la flèche d'or, nous sommes les uniques héritiersDe la campagne de France, nous sommes sortis glorieuxMus par la rose des vents, au prix d'efforts incessantsSans peur et sans relâche, Germersheim voit nos soldatsGuidés par la flèche d'or, la tourmente nous a révélésMus par la rose des vents, le combat nous a forgés. La Galette (Chant traditionnel de Saint Cyr) : Hé marin, prend la barre (chanté à l'école des mousses ou lors des PMM). Lorsqu'il vit son teint bronzéAvec son galon et sa médaille,À ses pieds le vieux s'est agenouilléEn lui disant : "Je suis une canaille,Je n'ai plus rien, j't'ai mis sur la paille.Fais de moi ce que tu voudras mon enfant,Je mérite le plus dur châtiment. (bis)Dans le maquis, tu formes la jeunesseChef de section, tu mène au combatPour l'ennemi, c'est l'heure de la détresseDans le Cantal résonne son désarroiAvec de Lattre, tu triomphe dans les VosgesJusqu'à Stuttgart, tu mène ta compagnieTes fantassins pourchassent l'ennemiJusqu'à Berlin, en passant par Kleebronn.En Indochine, le fracas de bataillesAttise ton âme au sein des tirailleursAu corps à corps, tu maîtrise la fureurDes assauts viets sans connaître de faillesFrelons d'acier, éclats d'une grenadeTa chair blessée n'altère pas ta flammeAdieu déjà Tonkin et Nord VietnamSous d'autres cieux se dressent des barricades.Dans le Maghreb, grandissent les périlsCours de djebel, avec tes tirailleursTu pacifies avec la même ardeurÀ Djidjelli, dans les campagnes et les villesSalam Alger, denier morceau d'EmpireSans un regret, tu quittes la terre d'AfriqueLoin des batailles, ton idéal s'impliqueTes trois étoiles nous guident vers l'avenir. (bis)Va t'en vite à la maison,Ta mère qui t'appelle,Va t'en vite à la maison,Ta mère qui t'attend. Oh ! Debout les morts !Et Verdun, la victorieuse,Pousse un cri que portent là-basLes échos des bords de la Meuse,Halte là ! BAN DE LA FUSEE 5-4-3-2-1-0 (partir debout et s’accroupir) Pz, Pz, PZ BOUM ! En avant troisième régiment,En avant, toujours en avant ! (bis)Non mon enfant je pars pour la PatrieC'est un devoir où tous les papas s'en vontEmbrasse moi petite fille chérieJe rentrerai bien vite à la maison. Pour le Maroc !Vêtus de nos robes de laine,Nous avons laissé nos troupeaux,Notre montagne ou notre plainePour ne connaître qu'un drapeau,C'est le fanion d'un capitaine.Notre destin est le plus beau.Rappelle-toi la TunisieAu temps de nos premiers assauts,Rappelle-toi la frénésieQui s'empara de notre peauLorsqu'au Zaghanan - adieu la vie.Nous nous battîmes au couteau.Sur le sol de la voie Appienne,Nous avons traîné nos pieds nus.Puis ce fut la course vers SienneL'ennemi fuyait éperdu.Des baisers des belles romainesPetit goumiers, te souviens-tu ?Le beau 15 Août, ce fut la FranceQui nous reçut, les bras tendus,Nous apportant la récompenseDu bonheur enfin revenu.Marseille et toute la ProvenceOnt chanté quand ils nous ont vu.Coureurs de bled, coureurs d'espace,Bien serrés dans nos djellabas,Il fallut poursuivre la chassePendant l'hiver ô sombres moisMais nous entrâmes en AlsaceTeintant de rouge le verglas.Après le Rhin, la Forêt Noire,Nous vit surgir tels des démons.On se ruait vers la victoire.Par un soir d'avril, nous plantions,Ah ! Pour reconquérir notre terre que l'ennemi a occupéeAccourant du pays qui souffre, riches de leur Honneur blesséÀ la France éprouvée, qu'on voulut leur ravirIls vouent leur foi, leurs espoirs, leur avenir.C´est à genouxQu'ils ont un jour promisSoyons les fiers gardiens du feu sacréIls ont vaincu nos anciens les cadetsRalliant l'Empire qui veille portant bien haut nos trois couleursIls sèment d'immortelle gloire, la voie de leur rude labeurPour sauver la Patrie, ils ont franchi les mersPour vaincre ils se forgent alors l'âme de fer.Sans trêve, ils sillonnent l'Afrique, combattent en France, gagnent l'AsiePour défendre aux confins de l'Orient, l'aura de la mère chérieÀ ceux qui ont subi le choc de leurs assautsImposent crainte et respect pour leur drapeau.Sur l'autel de leur sacrifice, à nous Cyrards ils ont léguéBrûlé par le feu de l'épreuve, l'insigne éclat de leur fiertéFais qu'en ce jour béni nos cœurs fervents mon DieuUnis par les liens du sang, s'engagent en preux. oui vraiment,Cadet Rousselle est bon enfant.Cadet Rousselle a une épée, (bis)Très longue, mais toute rouillée, (bis)On dit qu'ell' ne cherche querelle,Qu'aux moineaux et qu'aux hirondelles.Ah ! Chants historiques, anciens ou de traditions : Vous n'aurez pas l'Alsace et la Lorraine ! En passant par la Lorraine, Avec mes sabots, (bis)Rencontré trois capitaines,Avec mes sabots dondaine,Oh ! Depuis que j'ai découvert les chants militaires je les adore et j'ai trouvé utile de faire un répertoire des musiques militaires pour s'y retrouver plus facilement en reprenant le même modèle que celui pour les reportages, je le mettrai à jour. Ah ! Parmi les zouaves après la Grande GuerreVous vous démarquez de vos pairsBrillant soldat dont les tirailleurs,Vont reconnaître la grandeur !La guerre éclate et vous sous-lieutenantCommandez votre groupe francEt les Allemands vont vacillerPris dans une lutte acharnéeVoyez PercevalDans les matins brumeux de BretagneS'avancent vos enfants d'arme et d'idéalQue votre foi nous accompagne !Fier officier Joseph PercevalPar les mots de notre sermentDonnez nous l'audaceDe servir jusqu'au bout !Cette nuit voit briller sur nos sabresVotre nom comme un héritageDonnez-nous l'audaceDe servir jusqu'au bout.Contre-chantVoyez Joseph PercevalVos fils à genouxDemandant l'audaceDe servir jusqu'au bout.Prisonnier du palais de l'Élysée,Plein d'allant vous vous évadezParti rallier le Tchad et LeclercRenaître et vaincre en plein désert !Vous obtenez baïonnette au canon,La croix de la Libération,Face à vous toute une compagnie,Dans les sables de Tunisie !Après avoir gagné la NormandieVous luttez au cœur de ParisPuis libérez la terre d'Alsace,Où tant de coloniaux trépassent !Le serment de Koufra est bien tenu :Le RMT reste invaincu !Au nid d'aigle l'épopée s'achève,Vos clairons y sonnent la trêve ! Entretenons leur belle flamme,Ici nous forgerons nos armesEt servons du Golfe à l'AfriqueEn experts logistiqueNous les soldats de la Semeuse,Héritiers des anciens de Meuse,Nous garderons à MontlhéryL'esprit qu'ils nous ont transmisNous les soldats de la Semeuse,Héritiers des anciens de Meuse,Nous garderons à MontlhéryL'esprit qu'ils nous ont transmisEt sur les routes des BalkansPar les chemins de l'AfghanistanNous portons haut nos traditionsAu volant de tous nos camions"Transporte et combats" dans l'honneurLà où flottent nos trois couleursEt si tu payes la victoireNous saluerons ta mémoire, Des plaines de Mayence aux montagnes d'AfghanistanDes forêts d'Île de France jusqu'aux pistes du LibanPartout où la France a besoin de combattantsCent vingt et un, Transporte et combat.