connaissance scientifique

Cette manière de voir est en rupture avec la conception classique de l'objet comme simple découpe dans la réalité, comme ensemble de faits déjà présents devant le chercheur.

Du coup, il peut être intéressant de distinguer entre le référent et l'objet. Ce courant épistémologique pose à juste titre le problème de la contamination du scientifique par son objet de recherche, car il n’y est pas extérieur. La théorie de la connaissance est en lien avec : La théorie de la connaissance traite des relations existant entre la connaissance et[3] : La théorie de la connaissance analyse les conséquences de la connaissance : Selon le philosophe anglais Francis Bacon, ce sont les observations et les expériences qui nous donnent accès au réel, et la théorie en découle par généralisation induction.

[... Ce] mode de connaissances parcellarisé produit des ignorances globales. Nous allons commencer par définir grossièrement ce qu'est que "l'objet" dans le cadre des sciences. Selon Philippe Descola la théorie de la connaissance tente de s'émanciper des cultures et des périodes historiques qui ont présidé à son élaboration et elle s'ouvre à la diversité[7]. L’objet devient ce qui peut être mis dans une telle adéquation, le reste étant éliminé de la science. La réforme de la pensée appelle de la reliance qui puisse relier les connaissances entre elles, relier les parties au tout, le tout aux parties, et qui puisse concevoir la relation du global au local et du local au global.

La médiation par un individu sachant est d'autant plus importante qu'il y a un tour de main ou des astuces à acquérir dans la maîtrise par un apprenant d'un savoir. Une fois formalisé (à minima : par écrit), le Savoir existe indépendamment de l'Individu. Nos modes de pensée doivent intégrer un va-et-vient constant entre ces niveaux (voir introduction à la pensée complexe), « C'est la réforme de pensée qui permettrait le plein emploi de l'intelligence pour répondre aux 3 défis (culturel, sociologique, civique) et qui permettrait la liaison des deux cultures disjointes (humanités et sciences).

La stratégie, la pédagogie, les moyens de cette transmission sont les aspects les plus importants pour tenir l'objectif d'une transmission exhaustive et opérationnelle chez l'apprenant.

Puis, progressivement, cet aspect désigné du monde se dessine dans ses propriétés, grâce à la méthode scientifique qui permet de produire des faits contrôlables, mis en rapport étroit avec une théorie rationnelle.

Le terme d’objet, bien qu’inapproprié, étant consacré, il est difficile de revenir sur ce choix. L’objet de la connaissance scientifique se constitue à partir d’un projet de connaissance par une activité spéciale réglée par une méthode. Edgar Morin nous invite « à dissiper l'illusion qui prétend que nous serions arrivés à la société de la connaissance »[12]. Il a été désigné au XXe siècle par différenciation d'avec ceux de la philologie, de la grammaire, des études littéraires. La dernière modification de cette page a été faite le 22 juillet 2020 à 11:47. Mais, au travers de cet exemple, on comprend immédiatement qu'il y a plusieurs manières de s'occuper des astres. Tout est construit » (Bachelard, G. La formation de l’esprit scientifique, Paris, Librairie philosophique Vrin, 1999). Mais, on constate immédiatement que cette capacité désignée peut être l'objet de plusieurs types de connaissances  (la neurolinguistique, la psychologie cognitive, la grammaire générative, etc. Le tout se synthétise en un corpus qui devient l'objet de la connaissance.

les mesures correctives qui diminuent les conséquences de la survenue d'un risque. Pour nommer cette conception, il introduit le terme d’épistémologie constructiviste. C’est un sujet transcendantal, point d’origine abstrait, unité originaire synthétique de l’aperception, hors du temps et hors du monde.

L’objet naît de cette interrelation, lorsque, à un moment donné, elle se précise, se synthétise.

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Il considère que la connaissance comporte en elle : diversité et multiplicité.

La réalité empirique est donnée par l’expérience et le réel en soi est conçu par la pensée. Elle en est le critère de démarcation. ».

L’objet est interne à la connaissance, il en constitue le centre organisateur. Elle y reprend notamment le concept de Bruno Latour de « matter of concern », c'est-à-dire de « matière à préoccupation », que chaque citoyen peut éprouver vis-à-vis de techniques comme les OGM, les champs de colza-pétrole sur les terres vivrières, ou les champs d'éoliennes ou de panneaux solaires sur des terres agricoles, l'acharnement thérapeutique[19]... L'accès libre à la connaissance est une nécessité en termes de liberté et de démocratie. 2) l'occidentalo-centrisme qui nous juche sur le trône de la rationalité et nous donne l'illusion de posséder l'universel. [...] La connaissance n'est connaissance qu'en tant qu'organisation mise en relation et en contexte des informations »[13].

Elle est une action qui provoque une réaction. Pour Bachelard, c'est toute la démarche scientifique qui est inventive et constructive : « [...] dans la vie scientifique, les problèmes ne se posent pas d'eux-mêmes. La théorie de la connaissance, inventaire raisonné des instruments nécessaires pour connaître[4], étudie : Bien sûr, la théorie de la connaissance actualise la connaissance de la connaissance, sans être l'Histoire de la connaissance qui est une discipline spécifique. La connaissance n'est connaissance qu'en tant qu'organisation mise en relation et en contexte des informations » [13].

Les aspects typiquement épistémologiques sont reportés dans l'article, Les aspects philosophiques dans l'article.

est une connaissance pour un individu qui sait expliquer ce savoir pour lui-même et/ou pour autrui.