alice et le maire discours


C'est un petit peu surfait mais quand on a le programme ciné à côté, on est très content de voir cela". Ce faisant, il faillit au difficile objectif qu’Alice lui a suggéré, celui de la réserve pour un exercice du pouvoir complètement débarrassé de toute emphase. Il y a une réplique que j'aime bien : lorsqu'on demande à Fabrice Luchini "Monsieur le ministre, on nous attend...", lui répond par "Non, on ne nous attend pas, on m'attend, moi". Dans le dernier film de Nicolas Pariser, Fabrice Luchini est Paul Théraneau, maire socialiste de Lyon en pleine désillusion.

Il y a aussi quelque chose de très rare : on y voit une ville, Lyon, on y voit ce qui s'y passe, quels sont les gens qui y habitent, on voit bien les rapports qui existent dans ces municipalités, tous les codes, les mesquineries, avec cette professeure de littérature qui débarque avec ses idées toutes faites qui va apprendre ce que c'est. Vieles wird darin nur gestreift oder angetippt: Nicolas Pariser sucht weder eine vertiefte Auseinandersetzung mit politischen Inhalten noch stellt er das Porträt eines Politikers vor. Nicolas Pariser étrille au passage ce qu’est devenue la gauche au travers des élus qui se revendiquent d’elle.
Après trente ans de vie politique, il se sent complètement vide. Élections 2020 : Étienne Blanc candidat à Lyon, mais quel bilan à Divonne-les-Bains ? Avec « Alice et le maire », le réalisateur poursuit sa passionnante exploration de l’univers politique. Chaque

Directed by Nicolas Pariser. The mayor of Lyon is in existential crisis. jour, « De plus en plus agréable, le centre-ville de Lyon est de moins en moins accessible aux populations modestes », A Lyon, la rivalité Collomb-Kimelfeld déteint au soleil, Municipales 2020 à Lyon : Sandrine Runel candidate à l’investiture du PS, Avec Olivier Rey, une « conception berlinoise » de Lyon, Expulsion de la pizzeria Carlino sur fond de pression immobilière sur la Presqu’île. Donc c'est quand même un film haut de gamme. Les critiques du "Masque et la Plume" en sont ressortis enchantés. XL : "Les limites de ce film sont justement dans ces intrigues secondaires où les personnages ne sont pas suffisamment développés à l'image de ce personnage d’artiste un peu folle ou encore ce jeune libraire-imprimeur-éditeur auquel Anaïs Demoustier va essayer de porter son aide. S'abonner C'est un film sur l'air du temps, par rapport aux futures municipales : on nous montre à quel point c'est compliqué, c'est fatiguant quand on n'a plus d'idées, un moment où on se demande à quoi cela sert de faire encore de la politique. Les champs obligatoires sont indiqués avec *. Une fois encore, la rhétorique de la communication pour ne pas dire le verbiage ont de quoi faire sourire les observateurs de la vie politique locale. Then follows a dialogue between two diametrically opposed personalities who will turn their certainties upside down.

Alors qu’elle convoque les auteurs Marc Bloch ou Jean-Jacques Rousseau, la philosophe finit malgré tout par se fourvoyer un peu plus chaque jour, au regard de ce qu’elle refusait de devenir (« plus je fais de la politique, plus j’ai l’impression de devenir bête », lâche-t-elle en pleurs dans les bras d’un ami). Pourquoi "Le Masque & la Plume" n'a pas du tout aimé "Divorce Club" de Michaël Youn ? SA : "Un film intelligent, qui a de la tenue, bien dialogué, brillant, bien joué, un film sur le verbe, sur tout ce qu'il y a entre la pensée et l'action, les mots, la rhétorique, la vanité de la parole politique bien retranscrite. A l’exception d’une belle parenthèse nocturne où Alice et le maire s’épanchent par téléphone sur leur sentiment d’impuissance au son de Debussy, et de l’écriture du discours de candidature à la primaire, ping-pong galvanisant entre Demoustier et Luchini, filmé en plan-séquence, « Alice et le maire » reste sagement cantonné à son programme de succédané rohmérien sur le thème de … Il y a une très belle mise en scène, avec tous les espaces lyonnais. "Alice et le maire" : Fabrice Luchini / Bac Films ... Là, on a un doute, et à la fin je trouve qu'il y a du romanesque quand ils écrivent à deux le discours politique.

La philosophe constitue l’occasion pour le maire de bousculer et d’inquiéter son entourage. En effet, le lien qui se tisse entre Alice et le maire est à l’image du film : bien loin des clichés. «Alice et le maire» : Gérard Collomb n’avait pas à s’inquiéter du film Le film avec Fabrice Luchini dans le rôle du maire de Lyon n’a que peu de ressemblances avec Gérard Collomb. https://www.rue89lyon.fr/2019/09/11/alice-et-le-maire-lecon-de-modestie-a-destination-de-gerard-collomb-et-de-quelques-autres/, Cliquez pour partager sur Twitter(ouvre dans une nouvelle fenêtre), Cliquez pour partager sur Facebook(ouvre dans une nouvelle fenêtre). Il sait mettre en lumière les rapports de force et la hiérarchie qu'il y a à l'intérieur d'une mairie et d'un microcosme politique. Luchini montre qu'il peut tout faire, il peut jouer un histrion ou un type comme ça revenu un peu de tout, qui a divorcé et qui se demande s'il ne pas va se présenter à l'Elysée. En France, le site Allociné recense une moyenne des critiques presse de 3,8/5 [4].. Pour Le Figaro, c'est « une fête des maires qui fait des étincelles [5].. CinéSéries a globalement apprécié le film : « une plongée jubilatoire et très critique dans le monde des collectivités territoriales et de la politique [6]..

L’édile est immédiatement séduit mais a du mal à abandonner l’ambition de réaliser le “grand récit démocratique de notre temps”.

Rien de licencieux ni même de grivois ne les unit. Je trouve ça absolument formidable d'autant que Luchini en fait peu ! La projection sera suivie d’un échange avec l’équipe du film, animé par un de nos journalistes. The mayor of Lyon, Paul Théraneau, is in a delicate position.
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