Le portrait de Marie-Adélaïde de Savoie, duchesse de Bourgogne, en Diane (1710), au Louvre, participe du classicisme par le thème ; mais le sourire, la volonté de rendre le mouvement, l'imbrication des lignes du chien et de la femme, la composition qui ne privilégie pas la frontalité, ressortent du Baroque tel que le définit Wölfflin[15]. Ce genre, classé en second dans la hiérarchie des genres de l'Académie, est relativement peu affecté par l'évolution du style, et la capacité rare de Coysevox de transmettre un caractère avec la physionomie relègue au second plan l'analyse. La Marne, détournée des jardins de Marly et donnée à Brest en 1801 puis transférée au musée du Louvre à la Libération. Château de Versailles, salon de la guerre, Louis XIV en empereur romain vainqueur, Antoine Coysevox (1715).jpg, https://creativecommons.org/licenses/by-sa/3.0, Creative Commons Attribution-Share Alike 3.0, partnership between the Château de Versailles, https://commons.wikimedia.org/wiki/user:Coyau, Creative Commons Attribution-ShareAlike 2.5 Generic, Creative Commons Attribution-ShareAlike 1.0 Generic, Creative Commons Attribution-ShareAlike 2.0 Generic, GNU Free Documentation License, version 1.2 or later, Creative Commons Attribution-ShareAlike 3.0 Unported, https://en.wikipedia.org/wiki/File:Château_de_Versailles,_salon_de_la_guerre,_Louis_XIV_en_empereur_romain_vainqueur,_Antoine_Coysevox_(1715).jpg, Permission is granted to copy, distribute and/or modify this document under the terms of the, Copyleft: Multi-license with GFDL & CC-BY-SA 3.0 and older. This file contains additional information, probably added from the digital camera or scanner used to create or digitize it.

Le nom de famille Quoyzeveau se trouve écrit d'une quantité de façons aussi différentes que Coëzevau, Coiseveau, etc. Il se remaria en 1680 à Claude Bourdict, lyonnaise comme lui[5] ; il eut de nombreux enfants[6]. Coysevox partage avec les frères Coustou la Cour Marly au musée du Louvre. De retour à Paris en 1671, il fut employé à la décoration du château de Versailles et de ses jardins, produisant des copies des marbres antiques tels la Vénus de Médicis, la Vénus accroupie, la Nymphe à la coquille ou Castor et Pollux, soit en marbre, soit en bronze fondu par les frères Keller. Il en est de même des moulages des chevaux de Marly de son neveu Guillaume Coustou, dont les emplacements sont ceux occupés jusqu'en 1719 par ses 2 chefs d'œuvre : la Renommée et Mercure chevauchant Pégase. I, the copyright holder of this work, hereby publish it under the following licenses: Add a one-line explanation of what this file represents. Coysevox reçut en 1705 la commande royale des sculptures du château de Marly, travail qui allait l'occuper pendant plusieurs années. « en considération du dessein qu'il avait d'établir à Lyon une école académique et d'aller y faire sa demeure », Jean Thierry, né à Lyon en 1669, reçu à l'académie en 1717, employé par. Original file ‎(3,434 × 4,318 pixels, file size: 6.5 MB, MIME type: image/jpeg), Deutsch | English | español | français | ქართული | македонски | +/−, Boarisch | български | dansk | Deutsch | Zazaki | Ελληνικά | English | Canadian English | British English | Esperanto | español | eesti | suomi | français | hrvatski | magyar | italiano | 日本語 | 한국어 | македонски | മലയാളം | Nederlands | polski | português | русский | sicilianu | slovenščina | svenska | Türkçe | українська | العربية | 中文 | +/−, https://creativecommons.org/licenses/by-sa/3.0

Biographie.

Antoine Coysevox (prononcer « Coazevo » [1]) est un sculpteur français né à Lyon, le 29 septembre 1640 et mort à Paris le 10 octobre 1720).. Biographie . La guerre de la ligue d'Augsbourg (1688-1697) l'oblige à rendre une partie de ses conquêtes dans l'Est. Coysevox est d'abord apprécié, de son temps, comme portraitiste. Allégorie de la Dordogne , parterre d'eau. Ce salon, situé au nord de Galerie des Glaces, Il agit comme une communication entre les grands et la galerie appartements. Depuis 2010, des moulages à la poudre de marbre occupent à Marly l'emplacement d'origine. Antoine Coysevox ([kwazəvo][1] ou [kwazvo][2]) né à Lyon le 29 septembre 1640, et mort à Paris le 10 octobre 1720, est un sculpteur français. Salon de la Guerre (Room of War), Palace of Versailles.

Buste de Marie-Adélaïde de Savoie dans les appartements du dauphin et de la dauphine. Restant à Paris, il fut cependant nommé professeur l'année suivante, recteur en 1694, chancelier en 1716, il fut directeur de l'Académie de 1703 à 1705. L’Académie royale de peinture et de sculpture l'admit comme professeur adjoint, « en considération du dessein qu'il avait d'établir à Lyon une école académique et d'aller y faire sa demeure »[7] le 28 janvier 1676, avec comme pièces de réception un buste du peintre Charles Le Brun (1619-1690), premier directeur de l'Académie, et un de Colbert (remis en 1679). truetrue. Monument funéraire de Colbert, Paris, église Saint-Eustache. Il vint à Paris à dix-sept ans travailler dans l'atelier de Louis Lerambert (1620-1670), dont il épousa en 1666 la nièce, fille du peintre Noël Quillerier, Marguerite, d'un an plus âgée que lui et qui mourut un an après leur mariage. Au suivant, en 1704, six autres bustes de grands personnages contemporains. Deux statues de fleuves à la Grande cascade du parc. Ce comportement contrarie l'ambition de l'Académie de détacher les beaux-arts des métiers manuels. Français : Château de Versailles, salon de la guerre, Louis XIV en empereur romain vainqueur, par Antoine Coysevox, 1715, plâtre. Buste de Louis XIV dans la chambre du roi.

Il existe également un modèle réduit de la statue, en bronze, d'une hauteur de 94. Vierge à l'Enfant, destinée dans un premier temps au coin de son immeuble d'habitation, acquise par la confrérie de Notre-Dame-de-Grâce et placée depuis 1771 dans le croisillon sud du transept de l'Église Saint-Nizier[43].