séisme d' arménie


La télévision soviétique diffuse un reportage à l'attention de toutes les télévisions du monde. - Veuillez réessayer. Laurence Mildonian, « Il y a 30 ans, l'Arménie balayée par un séisme », La Provence,‎ 7 décembre 2018 (lire en ligne). En Valais, les lacs de montagne sont de réels dangers.

1. Le mercredi 7 décembre 1988 à 11 h 40 (heure locale) (photo 1.1) un séisme catastrophique a frappé une région de 3.000 km dans le nord de la R.S.S. 6. Les séismes les plus importants modifient la période de rotation de la Terre et donc la durée dune journée (de l'ordre de la microseconde)2. L’une comme l’autre renvoient à un déficit de priorité accordé à la vie par le système Soviétique.

Le 7 décembre 1988, un séisme d'une puissance exceptionnelle ravage l'Arménie soviétique. Un torrent de boue ravage Florence et ses richesses artistiques. C’est le plus terrible séisme que la ville ait connu depuis le "Big One" de 1906 qui avait saccagé la ville. Ainsi, nous allons comparer le Séisme ayant eu lieu en Arménie en 1988 et celui de San Francisco datant de 1989 : A) Le séisme en Arménie : Le 7 décembre 1988 , un séisme d’une magnitude de 6.9 s’est abattu sur le nord de l’Arménie, plus précisément la région de Spitak.
Pour autant, peu de structure se sont effondrées en raison des codes de constructions qui ont été pour la plupart bien suivis. Laurence Mildonian, « Il y a 30 ans, l'Arménie balayée par un séisme », La Provence,‎ 7 décembre 2018 (lire en ligne). Il y a eu 65 morts, 12000 personnes se sont retrouvées sans domicile et plus de 18000 bâtiments ont été endommagés.
Destructions à Leninakan. L’épicentre du séisme a été situé sur la faille San Andréas, l’une des failles les plus actives de la planète.

La cause secondaire réside dans l’insuffisance de l’organisation et de la quantité des premiers secours.

Ainsi, la grande différence entre ces deux séismes qui se sont passé à moins d'un an d'intervalle est le fait que San francisco est l'une des villes les plus riches des Etats-Unis et qui après le séisme de 1906 a su rebondir et mettre ses nouvelles constructions aux normes parasismiques et faire circuler des protocoles de protection  pour la population en cas de séismes. Environ cent mille séismes sont enregistrés chaque année sur la planète1. Terminé en 1972, elle a été édifiée pour résister au moindre secousse. Ses fondations sont enfoncées à 15km de profondeur, en cas de secousse, elles suivent alors les mouvements du sol, et le bâtiment ne s'effrondre donc pas. Lorsqu'un tremblement de terre a lieu, on...» Lire la suite. DOI : https://doi.org/10.3406/jda.1993.1766, www.persee.fr/doc/jda_1156-0428_1993_num_52_1_1766, L'ENCHEVETREMENT DES CATASTROPHES EN ARMENIE, Discontinuités de l'Histoire et continuité de mémoire (1). Selon les estimations, entre 25000 et 30000 personnes sont mortes sous les décombres des bâtiments non conçus pour résister à un tel séisme 514000 sont devenus sans abris.La dimension majeure de la catastrophe résulte de la combinaison de 2 causes essentielles : Ce séisme est de très loin le plus meurtrier, la cause principale est l’incapacité de nombreuses constructions à sauvegarder leurs habitants en absorbant les sollicitations du séisme, voire en négligeant des zones de survie, c’est à dire des volumes dégagés au sein des décombres. Cet article s'inscrit dans le cadre d'une recherche intitulée "Anthropologie de la catastrophe en Arménie". On dénombre 30'000 morts dans les décombres des villes qui sont toutes presque entièrement détruites.

Le séisme du 7 Décembre 1988 en Arménie et l’expulsion des sinistrés azéris de Spitak », dans Revue d’études comparatives Est-Ouest, janvier 2013 (présentation en ligne), p. 45-75. Les blessés se comptent par centaines de milliers.

Haroun Tazieff revient d'une mission sur l'Etna entré en éruption. - Situations incertaines. - Dimanche 3 février à 8h30 (heure locale) les services d’études sismologiques d’Arménie ont enregistré un séisme d’une puissance moyenne de 3 à 4 degrés sur l’échelle de Richter. En moins de huit secondes, une faille s'est ouverte sur une longueur de vingt kilomètres. Nous évoquerons le cas d'une minorité en ex -URSS (Les Arméniens) dont les protestations nationales depuis 1988, suivies de violences de diverses natures, ont conduit à percevoir la périphérie, plus précisément le Caucase, comme un lieu de luttes et de tensions inter ethniques. Le séisme a fait des milliers de mort. -