Des extraits de leurs journaux intimes ou carnets de reportages sont lus en voix off, et l’on plonge ainsi au cœur de l’action. Avec l'aide de l'ingénieur Eugène Freycinet, il parvient à équiper près de 600 000 hommes, mais ils manquent d'entraînement. L'armistice prévoit la capitulation de tous les forts qui entourent Paris et leur occupation par l'armée allemande. Par Alain Constant Publié le 18 août 2020 à 18h45, ARTE - MARDI 18 AOÛT À 20 H 50 - SÉRIE DOCUMENTAIRE.
Bazaine rencontre une dernière fois Napoléon III le 15 août, à Gravelotte, où l'empereur lui confirme l’ordre de poursuivre sur Verdun pour faire jonction avec l’armée de Châlons. Paris est assiégé par les armées allemandes dès le 19 septembre. Mac-Mahon, accompagné de Napoléon III, regroupe l'armée d'Alsace au camp de Chalons, afin de protéger Paris. Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Parmi les 39 modèles testés, plusieurs fabricants se sont démarqués pour la taille des plantes, des arbres et des branches, mais c’est Felco qui l’emporte.
La France doit céder l'Alsace-Lorraine à l'Allemagne. La France dispose de 375 000 hommes soldats expérimentés (avec en plus 175 000 légèrement en arrière).
Elles donnent naissance au 15e corps. Après son départ, les seules troupes encore disponibles sont celles de la garde nationale mobile, encore peu apte à faire campagne, et celles des dépôts. Poussé par Bismarck, et malgré ses réticences, le roi de Prusse Guillaume Ier donne son accord. En 1867, le comte von Moltke appelle à une guerre préventive pour « exterminer l’ennemi héréditaire ».
Début août, l’armée compte 285 000 hommes. L'indispensable papier hygiénique a prouvé à partir de la moitié du XIXe siècle qu'il était nettement plus efficace que l'éponge, le chanvre ou même les cailloux employés jusqu'alors. Expression utilisée parce que le télégramme annonçant cette défaite a été émis du village voisin de Reichshoffen. Le tsar Alexandre III montre une neutralité bienveillante pour la Prusse. Les sorties tentées par les soldats du général Trochu ne donnent rien. Mais les combats ont lieu en plein hiver, particulièrement dur cette année-là. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant à des moments différents. Désobéissance civile : comment des milliers d’activistes s’organisent en Allemagne, Pourquoi la fin du confinement ne sonnera pas la fin de l’épidémie, Pourquoi le vote par courrier complique la présidentielle américaine, Brexit : « Boris Johnson pense qu’il a davantage à gagner à un “no deal” qu’à un accord avec l’UE », Eva Joly : « Dans un dossier qui demandait la pondération, Eric Dupond-Moretti a choisi la brutalité », Congé paternité : une avancée à concrétiser, Le Festival du cinéma italien d’Annecy tourne le dos à la dolce vita, Le Mississippi, une femme-écrevisse, une île et un accusé… : nos coups de cœur littéraires, « Le Labyrinthe du silence » : un procureur allemand lève le voile sur les crimes nazis, Un seul tandem candidat à la tête de la cérémonie des Césars, Véronique Cayla et Eric Toledano, Maria Grazia Chiuri, l’atout en or de Dior, S’aimer comme on se quitte : « Il est parti juste après notre anniversaire de mariage », Le tourin à l’ail : la recette d’Alice Quillet, S’abonner, c’est accéder à tous les articlesDécouvrir les offres. La guerre franco-allemande, parfois appelée guerre franco-prussienne ou guerre de 1870, oppose du 19 juillet 1870 au 28 janvier 1871 la France à une coalition d’États allemands dirigée par la Prusse.
Les républicains, Jules Favre, mais aussi et surtout Gambetta, réussissent à canaliser le mouvement vers l’Hôtel de Ville, haut-lieu des révolutions parisiennes. La guerre est déclarée à la Prusse le 19. L'impératrice qui assure la régence forme un gouvernement sous la direction du généal Cousin-Montauban, comte de Palikao. Pour l'Allemagne, c'est la consécration de l'unification allemande, commencée par Bismarck, et le point de départ de l'Empire allemand. Son avis est partagée par le nouveau chef du gouvernement, le général Cousin-Montauban, duc de Palikao, qui a remplacé Émile Ollivier le 9 août. Leur échec entraîne un armistice et la paix de Francfort, conclue le 10 mai 1871 par les représentants de la République française, troisième du nom. Une nouvelle bataille est livrée à Châtillon le 13 octobre, une autre à Buzenval le 21, une autre encore au Bourget du 28 au 30.